La ville de Louviers (Eure)
Le cloitre des Pénitents
En 1646, les religieux pénitents de l'ordre de Saint Francois, autorisés par Louis XIV à quitter Sainte Barbe, fondèrent leur nouveau couvent sur cet emplacement. Il fut desaffecté sous la révolution En 1793, son église abrita les séances de la Société Populaire inféodée aux Jacobins. En l'an III, il servit d’école de Garçons, et en l an IV il fut transformé en maison d'arrêt et de correction. Elle accueille aujourd'hui une école de musique.
Le parc Aristide Briand en images
L'église Notre Dame
Quelques détails
Fondée au XIIIe, elle sera terminée un siècle plus tard. Elle sera modifiée au XVIe. Elle serait construite sur une ancienne basilique romaine.
Les bancs de la nef avaient été fait avec le bois de la flèche du XIVe (détruite avec l'ouragan de 1705). Elle sera restaurée dans les années 1840.
Mise au tombeau 15e
Christ en bois15e
Chaire 18e
Vitraux 16e
Tombeau de R. d’Acquigny (15e)
Statues du 15e
Tableaux 17e
Fresque 16e
Autres curiosités de Louviers
L'ancien siège d'un journal
La Poste
La poissonnerie (halles)
La maison du Parlement
Le palais de justice
L'école Jules Ferry
Un des nombreux bras de l'Eure
Chapelle Saint Lubin
Le blason de Louviers
Sur la façade de l'Hôtel de ville vous observerez des blasons des chefs lieu de canton de l'ancien arrondissement de Louviers : Amfreville, Gaillon, Le Neubourg et Pont de l'Arche ainsi que le lion, la devise de la ville et le "L" couronné. Il date du XIVe.
Plaque ancienne
A lire
Blason populaire de la Normandie (1859) pages 42 et 43
L'Arrondissement de Louviers pendant la guerre de 1870-1871 (1873) à partir de la page 99
La Normandie monumentale et pittoresque (1896) de la page 1 à 15
À la France : sites et monuments. Haute-Normandie (1901) Page 92
La chanson de la route de Louviers
Sur la route de Louviers, (bis)
Y avait un cantonnier. (bis)
Et qui cassait des tas de cailloux. (bis)
Pour mettr' su' l'passage des roues. (bis)
Un' bell' dam' vint à passer, (bis)
Dans un beau caross' doré. (bis)
Et qui lui dit : pauv' cantonnier, (bis)
Tu fais un fichu métier. (bis)
Le cantonnier lui répond : (bis)
Faut qu'j'nourrissions nos garçons, (bis)
Car si j'roulions carross' comm' vous (bis)
Je n'casserions point d'cailloux. (bis)
Cette répons' se fait r'marquer, (bis)
Par sa grande simplicité. (bis)
C'est c'qui prouv' les malheureux, (bis)
S'ils le sont, c'est malgré eux. (bis)